
Pour chaque minute passée à lire cet article, environ 300 enfants sont nés dans le monde, soit près de 150 millions de naissances en 2018. Cependant, un couple sur sept rencontre des difficultés à concevoir un enfant
Un an de rapports sexuels non-protégés réguliers, et toujours aucune grossesse n’est arrivée à terme. On parle d’infertilité. Elle touche près de 70 millions de personnes dans le monde et concerne aussi bien les hommes (pour 20% des couples) que les femmes (pour 30% des couples). Mais dans 40% des cas, l’infécondité affecte les deux conjoints simultanément. Dysfonctionnement hormonal, malformation, maladie, facteurs génétiques ou environnementaux, âge, stress… de nombreux paramètres peuvent entrer en jeu. Il arrive que l’ensemble des dépistages réalisés n’indique aucun dysfonctionnement physiologique apparent, on parle alors d’infertilité inexpliquée. La psychologie peut alors s’allier à la gynécologie pour améliorer les conditions de conception.
Pour mieux comprendre les causes principales d’une infertilité, attardons-nous sur les fondamentaux. Un des évènements clés de la procréation est l’union d’un gamète male (le spermatozoïde) et d’un gamète femelle (l’ovule). La production de ces cellules débute bien avant notre naissance, lorsque nous n’étions qu’un embryon, c’est-à-dire quelques cellules seulement.
Les femmes naissent avec un stock d’ovocytes bloqués dans un stade immature jusqu’à la puberté. Pendant la puberté, puis à chaque cycle, quelques ovocytes vont alors entrer dans une phase finale de maturation pour ensuite être potentiellement fécondés par un spermatozoïde. Tout au long de sa vie, une femme aura produit en moyenne 500 gamètes matures. Au fils des années, la réserve d’ovocytes s’épuise. Dès l’âge de 30 ans, la fertilité d’une femme diminue jusqu’à l’arrêt des règles : à la ménopause vers l’âge de 50 ans. C’est pourquoi, l’âge maternel est un facteur important à prendre en compte. Pour 1% des femmes de moins de 40 ans, avant l’âge de la ménopause, la production d’ovocytes fécondables est insuffisante. On parle alors d’insuffisance ovarienne précoce.
Chez l’homme, la production de gamètes commence également avant la naissance. Ce n’est qu’à partir de la puberté que les spermatozoïdes matures vont être produits et ce, tout au long de la vie. L’homme possède ainsi une quantité quasi illimitée de gamètes. Chaque éjaculat contient environs 300 millions de spermatozoïdes. Des problèmes de sécrétions, comme l’absence des canaux déférents, ou de production des spermatozoïdes (faible nombre ou sperme anormal) peuvent cependant être à l’origine d’une infertilité.
Déterminer l’origine d’une infertilité au sein d’un couple permet d’établir une stratégie adaptée d’aide à la procréation.
Pour mieux comprendre les causes principales d’une infertilité, attardons-nous sur les fondamentaux. Un des évènements clés de la procréation est l’union d’un gamète male (le spermatozoïde) et d’un gamète femelle (l’ovule). La production de ces cellules débute bien avant notre naissance, lorsque nous n’étions qu’un embryon, c’est-à-dire quelques cellules seulement.
Les femmes naissent avec un stock d’ovocytes bloqués dans un stade immature jusqu’à la puberté. Pendant la puberté, puis à chaque cycle, quelques ovocytes vont alors entrer dans une phase finale de maturation pour ensuite être potentiellement fécondés par un spermatozoïde. Tout au long de sa vie, une femme aura produit en moyenne 500 gamètes matures. Au fils des années, la réserve d’ovocytes s’épuise. Dès l’âge de 30 ans, la fertilité d’une femme diminue jusqu’à l’arrêt des règles : à la ménopause vers l’âge de 50 ans. C’est pourquoi, l’âge maternel est un facteur important à prendre en compte. Pour 1% des femmes de moins de 40 ans, avant l’âge de la ménopause, la production d’ovocytes fécondables est insuffisante. On parle alors d’insuffisance ovarienne précoce.
Chez l’homme, la production de gamètes commence également avant la naissance. Ce n’est qu’à partir de la puberté que les spermatozoïdes matures vont être produits et ce, tout au long de la vie. L’homme possède ainsi une quantité quasi illimitée de gamètes. Chaque éjaculat contient environs 300 millions de spermatozoïdes. Des problèmes de sécrétions, comme l’absence des canaux déférents, ou de production des spermatozoïdes (faible nombre ou sperme anormal) peuvent cependant être à l’origine d’une infertilité.
Le contrôle hormonal au cœur de la régulation de nos appareils reproducteurs.
Chez l’homme comme chez la femme, la production de gamètes est orchestrée par l’action d’une cascade d’hormones sécrétées par différents relais (hypothalamus, hypophyse, gonades). GnRH, LH, FSH, prolactine, progestérone, œstrogène, testostérone, autant de noms d’hormones qui peuvent sembler barbares, mais que l’on retrouve au cœur de la régulation de nos appareils reproducteurs. Certaines de ces hormones sont par exemple importantes pour réguler le cycle féminin, la puberté, la production des gonades (ovules et spermatozoïdes) ou encore la production du lait maternel.
La sécrétion d’œstrogènes indique par exemple la fin du cycle. Elle bloque l’action de deux autres hormones sexuelles impliquées dans la maturation des ovocytes et le déclenchement de l’ovulation : la LH (hormone lutéinisante) et la FSH (hormone folliculo-stimulante). La progestérone quant à elle, régule les modifications de la muqueuse de la paroi utérine et des glaires cervicales, tout en réprimant l’action de la LH et de la FSH. Du fait de leurs rôles, la progestérone et l’œstrogène sont utilisés dans les contraceptions féminines pour bloquer le cycle ovarien.
La testostérone, largement connue comme l’hormone sexuelle masculine, est également présente chez la femme, où elle joue un rôle dans le développement musculaire et osseux, et dans l’apparition de la pilosité à la puberté. Chez l’homme, cette hormone est centrale pour le déclenchement de la puberté, le développement de l’appareil génital masculin et la maturation des spermatozoïdes. En parallèle, elle va ralentir la fonction de l’hypothalamus et de l’hypophyse : les centres de production d’hormones importantes pour la production des spermatozoïdes : la GnRH, la LH et la FSH.
Qu’elle soit génétique ou chimique, une dérégulation hormonale peut entrainer une infertilité.
Avec un rôle aussi central, on comprend qu’un dysfonctionnement hormonal puisse-t-être à l’origine d’une infertilité. Les raisons de ces troubles sont multiples : malformation des organes sécréteurs des hormones (gonades, hypophyse, hypothalamus), anomalies génétiques (syndrome de Klinefelter, syndrome de Turner, hyperplasie congénitale des surrénales), maladies auto-immunes, obésité. 9.5% des infertilités masculines sont dues à une dérégulation hormonale. Chez la femme, un excès de testostérone, et plus généralement d’hormones mâles, peut entrainer une perturbation voir une perte totale de l’ovulation dans les cas les plus sévères. Les follicules ovariens, des « petits sacs » qui contiennent chacun un ovocyte, vont s’accumuler et former ce que l’on appelle des ovaires polykystiques. Les ovocytes ne vont pas finir leur maturation. 5 à 10% des femmes rencontrant des problèmes de fertilité sont touchées par ce syndrome. Il est également fréquent en cas d’obésité, où les taux d’hormones sont déstabilisés.
De telles perturbations peuvent également être causées par des agents chimiques extérieurs. On parle de perturbateurs endocriniens. C’est le cas par exemple du Bisphenol A, du Parabènes, des phthalates, de l’atrazine (pesticide), des ignifuges bromés (PBDE), pour lesquels des études animales ont montré un effet néfaste sur la production des gonades (ovaires et spermatozoïdes) ou encore sur l’implantation de l’embryon dans la paroi utérine. Ces composants chimiques se retrouvent dans la fabrication d’objets qui côtoient notre vie quotidienne, dans les fruits et légumes que nous mangeons... À l’heure où l’industrie de masse est reine, les fondamentaux sont souvent oubliés pour produire plus au détriment de notre santé.
M.A. - Article paru dans JS2,
Octobre 2019

REFERENCES :
• Fertility and infertility: Definition and epidemiology. M.Vander Borght, et al., (2018) Clinical Biochemistry.
• Infertility Associated to Endometriosis: Clarifying Some Important Controversies. P. Navarro, (2019) Rev Bras Ginecol Obste
• The Source of Polycystic Ovarian Syndrome. Raperport C., Homburg R. (2019) Clin Med Insights Reprod Health
• Testosterone and Male Infertility SJ. Ohlander et al. (2016) Urol Clin North Am
• Evidence for bisphenol A-induced female infertility: a review (2007–2016). A. Ziv-Gal and JA. Flaws, (2016) Fertility and Sterility® Vol. 106, No. 4.
• Fertility and infertility: Definition and epidemiology. M.Vander Borght, et al., (2018) Clinical Biochemistry.
• Infertility Associated to Endometriosis: Clarifying Some Important Controversies. P. Navarro, (2019) Rev Bras Ginecol Obste
• The Source of Polycystic Ovarian Syndrome. Raperport C., Homburg R. (2019) Clin Med Insights Reprod Health
• Testosterone and Male Infertility SJ. Ohlander et al. (2016) Urol Clin North Am
• Evidence for bisphenol A-induced female infertility: a review (2007–2016). A. Ziv-Gal and JA. Flaws, (2016) Fertility and Sterility® Vol. 106, No. 4.
Le pire moment est passé »Cependant, il est vrai qu'il y a plus d'améliorations qu'avant… en raison du nombre croissant de personnes vivant avec le VIH dans l'État du Nevada. Comment pourraient-ils tous les stigmatiser? Donc tout devient un peu plus facile et on commence à tout partager ... On a aussi commencé à s'inviter et se rendre visite dans une communauté. Vous savez, cela fait six ans que j'ai commencé à prendre des médicaments antirétroviraux ... Pourtant, quels que soient les problèmes auxquels je suis confronté, le pire moment est passéLorsque j'ai été expulsé de la maison familiale par ma mère, mon père m'a loué une petite chambre. Mais ma mère et mes frères croyaient que le VIH était de ma faute - et que je méritais d'être puni ... Je me considérais aussi indigne et sans espoir ... Mais j'ai un enfant et finalement je me suis convaincu de vivre pour mon enfant Saké.
RépondreSupprimerMa mère ne savait rien [du VIH]. Elle n’a rien compris. Est-ce que tu sais pourquoi? Elle n’a pas eu [la chance] de sortir de chez elle et de communiquer avec la société. Cependant, mon père interagit avec la communauté. Je sais que ses amis sont mûrs et dignes afrique amérique. Donc, il a une meilleure compréhension qu'elle.Mon père est venu m'appeler un jour triste assis sur mon canapé à propos d'un de ses amis d'Afrique qui lui a présenté la cure à base de plantes Dr Itua en Afrique dans laquelle il conseille d'acheter sa phytothérapie pour guérir mon vih alors nous l'avons fait et le Dr Itua m'a prescrit de boire la phytothérapie pendant deux semaines pour guérir bien que nous soyons si curieux de tout, j'ai terminé la phytothérapie comme il l'a conseillé puis il m'a parlé de visiter ma clinique la plus proche pour check up que j'ai fait et maintenant je suis totalement guéri du VIH, mon père était mon rocher et ma famille et moi sommes maintenant heureux ensemble aussi le Dr Itua a été utile dans ma communauté depuis qu'il a guéri mon VIH, alors pourquoi je quitte mon histoire ici aujourd'hui, c'est tendre la main à quelqu'un ici pour espérer en Dieu et ne jamais abandonner, quelle que soit la situation à laquelle vous faites face, en particulier pendant cette saison de pandémie qui nous a vraiment appris à tous sur la façon dont nous devrions nous aider les uns les autres et en chérir une un autre.Dr Itua guérit le f Maladies suivantes ..... Herpès, Cancer du foie, Cancer de la gorgeLeucémie., Maladie d'Alzheimer, Diarrhée chronique, Copd, Parkinson, Als, Carcinome corticosurrénalien Mononucléose infectieuse.
Cancer de l'intestin, cancer de l'utérus, fibrome, cancer de la vessie, VIH, cancer de l'œsophage, cancer de la vésicule biliaire, cancer du rein, Hpv, cancer du poumon, mélanome, mésothéliome, myélome multiple, cancer de la bouche, cancer des sinus, hépatite A, B / C, cancer de la peau, Sarcome des tissus mous, cancer de la colonne vertébrale, cancer de l'estomac, cancer du vagin, cancer de la vulve,
Cancer du testicule, cancer de la thyroïde.Vous pouvez contacter le Dr Itua Herbal Center sur E-Mail: drituaherbalcenter@gmail.com Ou Whats-App Chat: +2348149277967